Je n'ai jamais voulu que Silsila soit une "agence" comme les autres. Je voulais que ce soit une famille nomade. Les guides, les chauffeurs, les artisans, les femmes qui cuisinent pour nous,chacun d’eux fait partie de cette chaîne invisible. Quand je vois un participant pleurer en quittant une yurt au Kirghizistan,ou rire aux larmes au Mexique avec un artisan zapotèque, je me dis que Silsila a rempli sa mission : rendre le voyage humain à nouveau.